Jacob et le cinéma
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Description de l'ouvrage :
En 1914, à Montparnasse, Max Jacob déclare avoir vu le Christ au cinéma. Dès 1911, alors que le cinéma n’a pas encore acquis ses lettres de noblesse, l’amateur des salles obscures y a déjà vu Fantômas, puis Charlot dès les débuts du fameux vagabond. Le cinéma – et les cinéastes, dont Jean Aurenche, André Sauvage et Jean Cocteau – accompagnent toute sa vie de poète. Dans son œuvre, le poète dialogue avec le cinéma, notamment par des montages vertigineux d’images dans Le Cornet à dés et La Défense de Tartufe, dans des textes parus en revue, et jusque-là inédits. Il reste une unique bande où figure Max Jacob en personne. Sur la page comme à l’écran, Jacob porte les marques du plus surprenant des personnages de fiction, si bien que l’on n’a pas manqué de rendre Max Jacob à l’écran ; ne doutons pas qu’il y reviendra…
Voir le site internet de l'éditeur Jean-Michel Place
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