Les dialogues culte du cinéma français
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Description de l'ouvrage :
De Marius à Marius et Jeannette, en passant par les Enfants du paradis, la Grande illusion, les Tontons flingueurs, la Guerre des boutons, A bout de souffle, Zazie dans le métro, Le Père Noël est une ordure ou Pas sur la bouche, Bernard Chardère, fondateur de la revue Positif et de l'Institut Lumière, rend hommage, à travers une centaine d'extraits, aux plus grands scénaristes et aux plus grands réalisateurs français.
Description de l'ouvrage :
" Atmosphère, atmosphère... Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? ", " T'as de beaux yeux, tu sais ", " Ah ! toi, il te fait rire, à moi il me fend le cœur "... réveillent le souvenir enfoui de nos plaisirs cinématographiques. Les Dialogues culte du cinéma français nous remettent en mémoire ces échanges qui font la saveur de notre cinéma. L'ouvrage présente les 100 plus beaux dialogues du cinéma français, des débuts du parlant jusqu'à nos jours, soit des années 1930 à la fin des années 1990. De Marius à Marius et Jeannette, en passant par Les Enfants du Paradis, Le Corbeau, Les Aventures de Rabbi Jacob, La Maman et la Putain ou Diva. Chaque film est présenté de manière identique : une introduction situe le film dans son contexte historique et le dialogue dans le film ; chaque extrait dialogué est illustré par au moins une image du film. Les meilleurs scénaristes et réalisateurs y sont présents, les différentes périodes de l'histoire du cinéma français parlant couvertes, les différents styles représentés. Carné, Renoir ou Clouzot y voisinent avec Klapisch ou Kassovitz, mais aussi avec Poiré, Zidi ou Chatilliez. Par sa forme comme par son contenu, Les Dialogues culte du cinéma français devraient séduire tout amateur, jeune ou moins jeune, du 7e art. Un soir, dans le noir, Arletty a murmuré à notre inconscient collectif : " Je ne suis pas belle, je suis vivante, c'est tout " et Gabin : " T'as de beaux yeux, tu sais ", tondis que Jouvet regardait pensivement son couteau en disant : " Bizarre, bizarre... ". L'écran nous a apporté les mêmes rêves, en français dans le texte. Séparément mais ensemble irremplaçable magie du cinéma ! - aux bonnes reparties nous avons souri, et nous sommes esclaffé aux meilleures. De tels souvenirs sont évoqués au fil de ces cent-et-une scènes : séquences, dit-on au cinéma, mais il s'agit moins ici de montages d'images que de répliques et de " mots " (d'auteur, ainsi les qualifie-t-on lorsqu'ils sont bienvenus). Comme au théâtre, en somme. Sauf que, curieusement, les spectateurs semblent se souvenir davantage de paroles échangées à l'écran que sur scène... Ces phrases, dont l'écho est resté en tête, n'étaient pas dues à Gabin ou à Arletty. Ni même à Marcel Carné, le metteur en scène. L'auteur est le dialoguiste, qui tantôt ne fait qu'un avec le cinéaste lui-même, comme dans les cas de Pagnol, Guitry, Cocteau, Marguerite Duras ou Eric Rohmer. Tantôt, le plus souvent, avec le scénariste, celui qui a d'abord raconté l'histoire sur le papier. Jacques Prévert reste le premier, à juste titre : Drôle de drame, Le Quai des brumes, Les Enfants du paradis ne sont qu'une part de son palmarès. Il y avait aussi, en ce temps-là, Charles Spaak, Henri Jeanson ; puis vinrent Jean Aurenche et Pierre Bost, qui firent un retour plus tard grâce à Bertrand Tavernier. Ensuite Michel Audiard, Jean-Claude Carrière, Jean-Loup Dabadie, Danièle Thompson, Jean Cosmos, Coline Serreau, Pascal Bonitzer, et bien d'autres. Ce sont eux les créateurs de ces " dialogues " qui ont donné vie aux personnages, et auxquels les réalisateurs, souvent tenus pour les auteurs " complets " des films, doivent beaucoup. Les dialoguistes du cinéma sont peu à l'honneur : ils le seront dans ces pages. Chacune rappelle la poésie, la verve, l'invention d'œuvres mémorables. Ecoutons, à travers 70 ans d'adolescence - pour reprendre le titre des souvenirs de Jeanson. C'est l'âge du cinéma parlant. Ecoutons voir.
Description de l'ouvrage :
Atmosphère, atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?. Nul besoin ici de préciser l'origine de cette réplique ô combien fameuse d'Arletty. Elle fait en effet partie intégrante de l'histoire du cinéma français. Retraçant la genèse des dialogues parmi les plus savoureux des films français, ce livre, riche en photos, présente un extrait, placé dans son contexte, historique et filmique.
Du début des années 30, prémices du cinéma parlant, à la fin des années 90, la plupart des films français ayant marqué leur époque sont référencés. De Marius à Marius et Jeannette en passant par Les Enfants du paradis, A bout de souffle, Le Corbeau ou l'extraordinaire La Maman et la putain de Jean Eustache. De Pagnol à Renoir en passant par Carné, Clouzot, Kassovitz ou Klapisch, tous ces cinéastes qui ont fait des dialogues un art à part entière sont ici présents. Cet ouvrage passionnera le néophyte comme l'amateur de cinéma. --Florent Mazzoleni
Voir le site internet de l'éditeur Larousse
Edition plus récente
Les dialogues cultes du cinéma français (2004)
Editeur : Larousse
Sujet : Les Films > Répliques et dialogues
> Du même auteur :
Jacques Prévert (2008)
Paris la Belle, à l'Hôtel de Ville de Paris
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Sujet : Personnalité > Jacques Prévert
Le roman des Lumière (1995)
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de Bernard Chardère, Auguste Lumière et Louis Lumière
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Sujet : Réalisateur > Frères Lumière
> Sur un thème proche :
Les dialogues les plus drôles des films cultes (2006)
Tome 2
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Touche pas au grisbi, salope ! (2017)
Argot, méchantes saillies et mots d'esprit du cinéma français
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Les Plus Célèbres Répliques du cinéma (1995)
tome 2
de Marion Vidal et Jean-Claude Glasser
Sujet : Les Films > Répliques et dialogues
Nota : Un livre sur fond légèrement grisé est un livre qui n'est plus actuellement édité ou qui peut être difficile à trouver en librairie. Le prix mentionné est celui de l'ouvrage à sa sortie, le prix sur le marché de l'occasion peut être très différent.