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- Type
- Autobiographies
- Sujet
- Réalisateur > Marcel Bluwal
- Marcel Bluwal, télévision
- Année d'édition
- 1974 (épuisé ou diffusion restreinte)
- Editeur
- Stock
- Collection
- (hors collection)
- Langue
- français
Taille du livre
- Format
- Broché • 404 pages
14,5 x 22 cm
Egalement disponible en format eBook. - ISBN-10
ISBN-13 - 2-234-00111-0
978-2-234-00111-4 - Appréciation
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Description de l'ouvrage :
Marcel Bluwal en collaboration avec Marie-Thérèse Guinchard.
On savait que Marcel Bluwal maniait avec talent une caméra, animait efficacement des comédiens ; on savait aussi qu’il avait le goût des positions nettes. On découvre qu’il a le sens du récit et de l’écriture.
Il raconte.
Son enfance : populaire et chaleureuse auprès d’une mère qui l’initie à la lecture, à la musique et d’un père à qui il reconnaît devoir beaucoup.
Sa guerre : il reste, après avoir passé son bachot l’étoile jaune accrochée à ses vêtements, deux ans caché chez son professeur de piano, enfermé dans une chambre avec sa mère. Le jour où, pour la première fois, dans la glorieuse fin d’août 1944, il redescend dans la rue, il s’évanouit. Mais il se relève vite. Et ne tombera plus.
Il apprend à manier une caméra au service cinématographique de l’armée à New York. Il sillonne, toujours militaire, l’Algérie. Redevenu civil, il entend par hasard prononcer le nom de télévision française. Il y entre.
Et, dès lors, son histoire sera beaucoup celle de la télévision.
Il en explique le mécanisme. Il en décrit les hommes : les premiers Dumayet, Barma, Desgraupes, Sabbagh, Lorenzi, etc., et puis les autres qui viendront après. Il montre comment ce qui était à l’origine une petite équipe : quelques hommes travaillant avec des caméras qu’ils louaient sur leurs propres deniers, allant tourner avec leurs propres voitures, allait devenir cette énorme machine.
Il parle des comédiens qu’il aime (ah ! l’histoire Dom Juan - Michel Piccoli), des textes qui le fascinent et qui ne le
laisseront pas en repos jusqu’à ce qu’il les ait affrontés « caméra au poing ».
Il n’oublie pas ses échecs.
Et puis, et enfin, il s’agit aussi d’une prise de conscience politique. Comment Marcel Bluwal est devenu communiste. Marcel Bluwal, c’est Dom Juan, La double inconstance, Les Misérables, Vidocq, etc. C’est aussi un militant.
L’homme à la casquette de marin, portant toujours vareuse, mais qui n’aime pas tellement cette image de lui-même, nous livre la plus passionnante histoire vécue : la sienne et celle de la télévision.
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Voir la filmographie complète de Marcel Bluwal sur le site IMDB ...
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