101 nanars
une anthologie du cinéma affligeant (mais hilarant)
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Description de l'ouvrage :
Spécialiste du septième art sous toutes ses formes, François Forestier dresse ici un portrait fort désopilant des "navets" du cinéma mondial. C'est avec un mauvais goût affirmé qu'il visite les arcanes du cinéma kitsch, ahurissant, raté, loufoque mais presque toujours rigolo. Divisé en 12 chapitres qui vont des péplums aux semi-chefs d'œuvre cultes, on trouve des illustrations inédites.
A l'origine de ce livre surprenant, un film, un "nanar" , Oh, Que Mambo !, de John Berry, vu dans une salle obscure du Luxembourg en 1974 auquel l'auteur consacre un chapitre entier. De Maciste à Sissi en passant par Angélique, la plupart des œuvres majeures de seconde zone sont ici représentées. Phénomène quasi incontournable dans une carrière d'acteur ou de réalisateur, le nanar n'épargne personne, de Ed Wood à Jean Gabin en passant par John Travolta ou Johnny Hallyday. --Florent Mazzoleni
Description de l'ouvrage :
Dès que des gens par ailleurs notoirement fréquentables confrontent leurs avis sur les films qui viennent de sortir, la passion remplace peu à peu la civilité. (...) Puis les choses s'arrangent lors d'énormes apothéoses consensuelles saluant l'évocation d'un nanar hautement gratiné. Extrait de la préface de J.P. Jackson
Kitsch, délirant, ahurissant, " naturel " ou " cultureux ", le nanar est un film raté, forcément rigolo. François Forestier, avec un mauvais goût très sûr, en propose un, chaque semaine, dans sa chronique du Nouvel Observateur. Il en a ainsi réuni 101, essentiels, regroupés en douze chapitres, allant des péplums lamentables aux chefs-d'œuvre surestimés. De Maciste contre les hommes de pierre à Sissi en passant par l'Amour parmi les monstres (un mélo poignant interprété par des siamoises) et Terror in Tiny Town (le seul western musical joué par des nains), il a sélectionné, avec patience et mauvais esprit, le meilleur du pire et, parfois, le pire du pire. Jayne Mansfield, Ed Wood, John Travolta, Antonioni, Don Johnson, Jean Gabin, Charlton Eston, Johnny Hallyday, Rita Cadillac, personne n'y a échappé (mais seul Mickey Rourke en a fait une carrière) : l'histoire du cinéma est faite de nanars. L'auteur propose même son favori, Oh ! Que Mambo ! Où Dario Moreno danse ! A propos de ce film, François Forestier conclut : " Si vous n'aimez pas ce film, vous n'aimez pas les nanars. Donc, vous n'aimez pas le cinéma. " Chaque début de chapitre est illustré d'une série de photographies tout aussi affligeantes et hilarantes que le texte.
Voir le site internet de l'éditeur Denoël
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Nota : Un livre sur fond légèrement grisé est un livre qui n'est plus actuellement édité ou qui peut être difficile à trouver en librairie. Le prix mentionné est celui de l'ouvrage à sa sortie, le prix sur le marché de l'occasion peut être très différent.